Abstract

L’urgence climatique donne lieu parfois à des prises de positions socialement insoutenables dans un cadre démocratique apaisé. Comme dans d’autres domaines des sciences sociales, la dérive militante intersectionnelle frappe l’analyse des mobilités. Un discours engagé tend à devenir dominant et s’impose au prix du sacrifice de la réalité historique et du vécu des citoyens. A la fin, des positions maximalistes, notamment en matière de transition environnementale et d’attention portée à la faisabilité des adaptations exigées en termes parfois moraux, s’avèrent malfaisantes et contreproductives.

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