Abstract
Cette étude de cas montre les contingences culturelles de la mobilité internationale d’un chercheur réfugié d’Afrique vers les États-Unis. Son parcours dans le milieu universitaire américain incarne la théorie culturelle du tiers espace. En tant que chercheur réfugié, ce qui était apparu d’abord comme des défis insurmontables s’est avéré bénéfique dans la réalisation du travail académique. Il apparait que travailler dans un domaine différent de notre discipline et dans la langue de la culture d’accueil n’est pas nécessairement négatif. Au contraire, l’intersectionnalité et l’hybridité des expériences professionnelles dans le nouvel environnement culturel se révèlent parfois plus productives. En outre, l’ambivalence de la production de la connaissance fait absolument partie du sort de nombreux migrants professionnels.
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