Abstract

Cet essai contextualise le phénomène des selfies représentant le corps des femmes comme des figures en spirale. Il le fait à travers plusieurs excursions interconnectées dans le néoplatonisme de la Renaissance, l’œuvre de Michel-Ange, la théorie de la beauté de William Hogarth, le discours hygiéniste du 19ème siècle et l’analyse de Baudrillard sur l’inversion du dualisme âme-corps, pour finalement montrer ces figures comme des héritières uniques de la figura serpentinata de la Renaissance.

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