Abstract

On commence à mesurer l'ampleur et les effets de la révolution dumézilienne dans la lecture des textes, des mythes et des structures des sociétés anciennes. La richesse de cet apport n'est certes pas épuisée depuis la disparition du créateur de la mythologie comparée. Mais dans le même temps se sont multipliées les dénonciations justifiées d'excès en tout genre commis par des épigones plus ou moins légitimes (cf. par exemple B. Sergent, dansAnnales ESC, 1990, n° 4, p. 941-949). Dumézil a lui-même vigoureusement refusé toute caution aux généralisations philosophantes comme aux intempérances méthodologiques ou, pire encore, aux récupérations politiques.

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