Abstract
L'A. etudie la relation entre identite sexuelle et identite collective dans le contexte actuel de la globalisation. Il decrit de quelle maniere le post-modernisme envisage la notion de sujet. Il compare l'approche narrative de la construction identitaire imaginee par Virginia Woolf dans son roman «Orlando» et celle defendue par Charles Taylor dans son ouvrage «Sources of the Self». Il denonce les limites de la narration en ce domaine. Il propose une approche psychanalytique feministe du moi. Il examine l'influence des facteurs politiques et collectifs sur la formation identitaire et subjective. Il presente la theorie du sujet elaboree par Jessica Benjamin. Il s'interroge quant au role de la perspective feministe face au developpement de l'intolerance et de la xenophobie dans le monde actuel.
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