Abstract

Abstract: En 1855, le roman Les Amoureux de Sainte-Périne de Champfleury dépeint des vieillards pensionnaires d'une des premières maisons de retraite spécialisées. À la même époque, deux ouvrages médicaux, le Traité de la vieillesse hygiénique, médical et philosophique de Joseph-Henri Reveillé-Parise (1853) et le Traité clinique et pratique des maladies des vieillards de Maxime Durand-Fardel (1854), étudient les pathologies des personnes âgées. Ils véhiculent une vision puritaine critiquée par Simone de Beauvoir dans La Vieillesse , selon laquelle la dégénérescence des organes reproducteurs libère l'instinct et élève l'âme. Malgré sa tonalité comique et moralisatrice, le roman de Champfleury parvient à saisir avec justesse des vieillards tourmentés par des passions déstabilisantes.

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