Abstract

L’époque du cycle économique du caoutchouc (1880-1920) dans la région amazonienne du Putumayo représenta un traumatisme pour les peuples indigènes, qui furent réduits en esclavage, assassinés ou déplacés de leur territoire. Ce texte analyse le traitement de la mémoire traumatique par les survivants et leurs descendants. Il cherche d’abord à voir comment les théories occidentales sur la mémoire s’articulent avec les pratiques ancestrales de ces peuples, pour ensuite analyser deux œuvres, un tableau et un dessin, réalisés par des artistes contemporains, descendants des victimes du génocide du Putumayo.

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