Abstract

L’objet de l’article est le soi écologique tel que l’a conceptualisé la philosophe australienne Val Plumwood comme étant un soi relationnel à la faveur d’un dialogue avec la deep ecology et Arne Naess. Il s’agit de montrer que ce soi relationnel correspond à une reconsidération du soi sous un angle écologique au sens scientifique du terme, aussi bien sur un plan ontologique que sur un plan plus incarné : le soi relationnel est une conceptualisation du moi au prisme d’une ontologie relationnelle portée par la science écologique, et la signification concrète du soi relationnel correspond aux conclusions de l’écologie scientifique.

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