Abstract

Cet article considère la modalité comme une caractéristique commune à de nombreuses compositions polyphoniques de la Renaissance, une caractéristique qui garantit leur cohérence interne et les définit comme œuvre d’art. La modalité sera envisagée ici dans l’abstrait, indépendamment du classement modal de compositions individuelles. L’article discute d’abord de la constitution du système diatonique double de la Renaissance, cantus durus et cantus mollis , et de son origine. Il se tourne ensuite vers des questions de diapason, de transposition et de contraintes de la notation. Il conclut en examinant brièvement comment la modalité et la cohérence modale peuvent s’exprimer dans les œuvres, non seulement par le choix de degrés cadentiels, mais aussi par l’existence d’un espace modal comparable à l’espace tonal de la théorie schenkérienne de la tonalité.

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