Abstract

La décentralisation du contrôle d’une partie des projets de concentration de la Commission européenne vers les autorités nationales de concurrence a été facilitée par la réforme de 2004. En proposant une représentation originale des autorités de concurrence nationales au sein d’un réseau de renvois acceptés par la Commission européenne, cet article interroge l’effet de la réforme sur la position des autorités nationales de concurrence dans ce réseau. En utilisant les outils d’analyse des réseaux, il montre que le réseau est de type centre-périphérie et que la position des acteurs s’explique par le PIB. La réforme de 2004 a accentué cette structuration autour des autorités de concurrence allemande, française et britannique. Classification JEL : C12, K21, L14, L51

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