Post-exercise hypotension (PEH) is a clinically relevant phenomenon, which occurs after aerobic and resistance exercises. However, its existence following functional training (FT) remains unknown with negative feelings induced by the high intensity component of FT a potentially limiting factor to adherence of FT. Thus, the aim of this study was to examine the effects of a single bout of FT on psychophysiological (blood pressure and affective emotional) responses. Twenty-three female ( n = 9) and male ( n = 14) young (21.4 ± 3.8 years) with normal blood pressure (systolic and diastolic blood pressure 109 ± 10 and 65 ± 7 mmHg, respectively) and body mass index (24.7 ± 4.6 kg/m 2 ) completed two experimental sessions in a random order: no exercise/control or FT session. The FT bout consisted of four phases including warm-up, two phases neuromuscular and last one phase with high-intensity interval training. During each phase, ratings of perceived exertion and affective responses (Feeling and Felt Arousal Scales) were obtained. Blood pressure was obtained before and up to 60-minutes after the experimental sessions. Data were analyzed by analysis of variance with significance achieved at P < 0.05. During the FT session, participants reported positive and pleasant affective scores (Feeling Scale = +1 to +5; Felt Arousal Scale = 2 to 5) with moderate levels of perceived exertion. The FT session promoted a post-exercise blood pressure [∼8 (Δ = −7.5%), 5 (Δ = −6.3%) and 6 (Δ = −7.5%) mmHg change for systolic, diastolic, and mean blood pressure, respectively; P < 0.01] decreased and remaining lower as compared with the control session ( P < 0.01). A FT session resulted in a moderate level of perceived exertion, and positive emotional responses followed by PEH for up to 60 minutes. These positive affective and cardiovascular effects highlight FT as a potentially beneficial exercise modality to address exercise adherence and cardiovascular risk. L’hypotension post-exercice (HPE) est un phénomène couramment observé qui survient après des exercices d’aérobie et de résistance. Cependant, son existence suite à une formation fonctionnelle (FF) reste inconnue avec des émotions negatives induites par la composante de haute intensité de la FF, un facteur potentiellement limitant à l’adhérence de l’entraînement fonctionnel. Ainsi, le but de cette étude était d’examiner les effets d’un seul épisode de FF sur les réponses psychophysiologiques (tension artérielle et la réponse affective à l’exercice). Vingt-trois jeunes femmes ( n = 9) et hommes ( n = 14) (21,4 ± 3,8 ans) avec une tension artérielle normale (pression artérielle systolique et diastolique 109 ± 10 et 65 ± 7 mmHg, respectivement) et un indice de masse corporelle (24,7 ± 4,6 kg/m 2 ) ont effectué deux séances expérimentales dans un ordre aléatoire: pas d’exercice/contrôle ou séance FF. La session de FF combinait quatre phases comprenant un échauffement, deux phases d’entraînement neuromusculaire et la dernière phase avec un entraînement par intervalles à haute intensité. Chaque phase était suivie d’évaluation subjective de l’effort perçu et des réponses affectives. La pression artérielle a été obtenue avant et jusqu’à 60 min après les séances expérimentales. Les données ont été analysées avec une analyse de la variance et un niveau de significativité de p < 0,05. Au cours de la séance de FF, les participants ont rapporté des scores affectifs positifs et agréables (échelle de sentiment = +1 à +5; échelle d’excitation ressentie = 2 à 5) avec des niveaux modérés d’efforts perçus. La séance de FT a diminuée la pression artérielle post-exercice [∼8 (Δ = −7,5 %), 5 (Δ = −6,3 %) et 6 (Δ = −7,5 %) mmHg de changement pour la pression artérielle systolique, diastolique et moyenne, p < 0,01] tout en restant inférieure par rapport à la séance témoin ( p < 0,01). Une séance de FF a entraîné un niveau d’effort perçu modéré et des réponses émotionnelles positives suivies de PEH pendant 60 min. Ces effets affectifs et cardiovasculaires positifs soulignent le FF comme une modalité d’exercice potentiellement bénéfique pour améliorer l’observance à l’exercice et réduire le risque cardiovasculaire.