The aim of this study is to compare the traditionally accepted oxygen consumption value (3.5 mL.kg −1 .min −1 ) for 1 metabolic equivalent of task with measured resting oxygen consumption in postmenopausal women with overweight and obesity. The second purpose is to determine the accuracy of selected resting metabolic rate prediction equations. This study includes the baseline resting metabolic rate data collected for a more comprehensive exercise intervention study in postmenopausal women with overweight and obesity. Twenty-eight postmenopausal women with overweight and obesity (age: 55.5 ± 4.0 years, body mass index: 33.0 ± 4.2 kg.m −2 ) participated in this study. Resting metabolic rate was measured by indirect calorimetry and predicted by selected six equations. One-Sample t-test, Paired-Sample t-test, Intraclass Correlation Coefficient, Information Based Measure of Disagreement and Bland-Altman plots were used for data analysis. Resting oxygen consumption (1.96 mL.kg −1 .min −1 ) was 44% lower than the traditionally accepted oxygen consumption value for 1 metabolic equivalent of task ( P < 0.05). Measured resting metabolic rate was 1113 ± 255 kcal.day −1 . All prediction equations, Mifflin Weight (1373 ± 106 kcal.day −1 ), Mifflin FatFreeMass (1281 ± 83 kcal.day −1 ), Harris-Benedict (1481 ± 95 kcal.day −1 ), World Health Organization (1540 ± 90 kcal.day −1 ), Bernstein (1225 ± 73 kcal.day −1 ) and Owen FatFreeMass (1202 ± 83 kcal.day −1 ) significantly overestimated the resting metabolic rate ( P < 0.05). Resting oxygen consumption in postmenopausal women with overweight and obesity is lower than the traditionally accepted value of 1 metabolic equivalent of task. Therefore, the use of standard metabolic equivalent of task may overestimate the resting metabolic rate and lead to misclassification of physical activity intensities in this population. The accuracy of the prediction equations is very low, and they overestimate resting metabolic rate in postmenopausal women with overweight and obesity, which may interfere with the weight management programmes. Whenever possible indirect calorimetry should be used to determine resting metabolic rate in this population. Le but de cette étude est de comparer la consommation d’oxygène au repos mesurée chez les femmes ménopausées en surpoids et obèses avec la valeur de consommation d’oxygène conventionnellement acceptée (3,5 mL.kg −1 min −1 ) pour 1 équivalent métabolique. Le deuxième objectif de cette étude est de déterminer l’exactitude des certaines formules d’estimation du taux métabolique de base. Cette étude comprend les données de base sur le taux métabolique au repos collectées pour l’intervention d’exercice plus complète dans une étude chez les femmes post-ménopausées en surpoids et obèses. Vingt-huit femmes post-ménopausées en surpoids et obèses (âge : 55,5 ± 4,0 ans, indice de masse corporelle : 33,0 ± 4,2 kg.m −2 ) ont participé à cette étude. Le taux métabolique de base a été mesuré par calorimétrie indirecte et a été calculé par six équations sélectionnées. Le test t à un échantillon, le test t à échantillon apparié, coefficient de corrélation intraclasse, mesure du désaccord basée sur l’information et les graphiques de Bland-Altman ont été utilisés pour l’analyse des données. La valeur de la consommation d’oxygène au repos (1,96 ml.kg −1 .min −1 ) est 44 % inférieure à la valeur de consommation d’oxygène conventionnellement acceptée pour 1 équivalent métabolique ( p < 0,05). Le taux métabolique de base mesuré par calorimétrie indirecte a été déterminé à 1113 ± 255 kcal.jour −1 . Les taux métaboliques de base calculés par toutes les formules de prédiction, Mifflin Weight (1373 ± 106 kcal.day −1 ), Mifflin FatFreeMass (1281 ± 83 kcal.day −1 ), Harris-Benedict (1481 ± 95 kcal.day −1 ), Organisation Mondiale de la Santé (1540 ± 90 kcal.day −1 ), Bernstein (1225 ± 73 kcal.day −1 ) et Owen FatFreeMass (1202 ± 83 kcal.day −1 ) sont visiblement plus élevés que le taux métabolique de base mesuré dans cette étude ( p < 0,05). Chez les femmes post-ménopausées en surpoids et obèses, la consommation d’oxygène au repos est inférieure à l’équivalent métabolique conventionnellement accepté de 1. En conséquence, par l’utilisation d’équivalents métaboliques standards on peut surestimer le taux métabolique de base et conduire à une classification erronée de l’intensité de l’activité physique dans cette population. La précision des formules d’estimation est très faible et le taux métabolique de base surestimés, qui peut interagir avec les programmes de gestion du poids chez les femmes post-ménopausées en surpoids et obèses. Dans cette population, la calorimétrie indirecte devrait être utilisée pour déterminer le taux métabolique de base dans la mesure du possible.
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