In qualitative and cross-sectional studies, participation in recreational pole dancing classes has been shown to align with improvements in body image, physical fitness, satisfaction of basic psychological needs and group identity. The purpose of this feasibility study was to quantify retention and adherence rates, along with physiological and psychological changes, across eight weeks of pole dancing classes. Of the 76 participants recruited, 68 females (age range nineteen to 60 years) attended baseline testing, a typical term of pole dancing classes at eight local studios (i.e., two 60-minute classes a week for eight weeks) and a post-program testing session resulting in an 89.5% retention rate. The adherence rate was 93.8% (mean attendance of fifteen out of sixteen classes). Significant over-time improvements with small to large effect sizes were observed in body image (body appreciation r = 0.45, figure rating r = 0.38), physical self-concept (sport r = 0.30, coordination r = 0.41,  strength r = 0.50, endurance r = 0.28, global esteem r = 0.38, flexibility r = 0.18), physical fitness (flexed arm hang r = 0.49, step up test d = 0.26, sit and reach d= 0.23) and visceral fat mass (r = -0.16). No significant changes were observed in bone mineral density, leg lean mass or leg fat mass. Analyses also revealed important correlations between in-class experiences and psychological and physiological outcomes, which may provide insight into potential design elements within future intervention studies. The results from this study inform the design of future larger trials by (a) highlighting retention and adherence rates in an eight-week pole dancing program, (b) identifying effect sizes for key outcomes of pole dancing, and (c) providing insight into the potentially modifiable factors that might be suitable targets for intervention should researchers and practitioners seek to maximize outcomes from this form of training.Des études qualitatives et transversales ont montré que la participation à des cours de pole dance récréatif est associée à des améliorations de l'image corporelle, de la forme physique, de la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux et de l'identité de groupe. Cette étude de faisabilité visait à quantifier les taux d’adhésion et de rétention, ainsi que les évolutions physiologiques et psychologiques, durant huit semaines de pratique de pole dance. Sur les 76 participant·e·s recruté·e·s, 68 femmes (âgées entre 19 et 60 ans) ont participé à des tests de base, à un cours typique de pole dance dans huit studios locaux, (soit deux ateliers d’une heure par semaine pendant huit semaines), et à une session de tests après le programme. Il en résulte un taux de rétention de 89,5 %. Le taux d’adhésion s’élève à 93,8 % (participation moyenne de 15 cours sur un total de 16 cours). Au fil du temps, des améliorations significatives avec des effets plus ou moins importants ont pu être observées sur l’image corporelle (appréciation du corps r = 0,45, évaluation des formes r = 0,38), l’image de soi physique (sport r = 0,30, coordination r = 0,41, force r = 0,50, endurance r = 0,28, estime globale r = 0,38, souplesse r = 0,18), la forme physique (traction r = 0,49, Queens College Step Test d = 0,26, souplesse en position assise d = 0,23) et la masse de graisse viscérale (r = -0,16). L’étude ne montre aucun changement significatif sur la densité minérale osseuse, sur la masse maigre au niveau des jambes ou sur la masse grasse. Les analyses ont également révélé d’importantes corrélations entre des expériences vécues en cours et des résultats psychologiques et physiologiques. Ces découvertes pourraient être très utiles pour d’éventuels éléments de conception dans le cadre de futures études d’intervention. Les conclusions de cette étude orientent la conception de futurs essais à plus grande échelle en (a) mettant en évidence les taux d’adhésion et de rétention durant un programme de pole dance sur huit semaines, (b) identifiant les tailles d’effets pour les principaux résultats du pole dance, et (c) donnant des informations utiles sur les facteurs potentiellement modifiables qui pourraient s’appliquer au domaine expérimental si des chercheur·euse·s et praticien.nes souhaitent optimiser les résultats pour cette pratique.
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