The experiment was conducted to assess the effects of different inclusion levels of cooked kidney bean meal as non - conventional feedstuff on the growth performance of broilers chicks. The test diets were formulated such that, diet T1 (control diet) contained no kidney bean meal, diet T2 contained 20% cooked kidney bean meal, diet T3 contained 40%cooked kidney bean meal and diet T4 contained 60%cooked kidney bean meal. The trial lasted for eight weeks and the following parameters were measured weekly during the course of the experiment. Feed intake, body weight, weight gain, feed conversion ratio, nutrient digestibility, length of body parts and carcass proportion. The result showed that there were significant differences (p<0.05) in the Final body weights and average mean body weights. The birds fed 20% cooked kidney bean meal diets had the highest mean body weight (1220g) while birds fed 60% cooked kidney bean meal had the lowest mean body weight (941.20g). There was no significant difference (p>0.05) in the feed intake of birds fed cooked kidney bean meal diets. There were no significant difference (p>0.05) in the length of body parts and carcass proportion except thigh and wing, crop of birds fed cooked kidney bean meal diets respectively. Significant difference (P>0.05) were not observed in the dry matter, ether extract, crude fibre and ash digestibility except in crude protein and NFE (Nitrogen Free Extract). There were no significant differences (P>0.05) among birds fed the four experimental diets in parameters considered in the carcass proportion except the wing and the crop. It was however concluded that the addition of cooked kidney bean meal had a positive effect on the performance as well as CPdigestibility of the birds when their inclusion in the diet is within the range of 20-40% replacement of conventional plant protein sources.
 
 
 
 
 
 L'expérience a été menée pour évaluer les effets de différents niveaux d'inclusion de tourteau de haricots rouges cuits comme aliment non conventionnel sur les performances de croissance des poussins de chair. Les régimes testés ont été formulés de telle sorte que le régime T1 (régime témoin) ne contenait pas de farine de haricots rouges, le régime T2 contenait 20 % de farine de haricots rouges cuits, le régime T3 contenait 40 % de farine de haricots rouges cuits et le régime T4 contenait 60 % de farine de haricots rouges cuits. L'essai a duré huit semaines et les paramètres suivants ont été mesurés chaque semaine au cours de l'expérience. Consommation alimentaire, poids corporel, gain de poids, taux de conversion alimentaire, digestibilité des nutriments, longueur des parties du corps et proportion de la carcasse. Le résultat a montré qu'il y avait des différences significatives (p<0,05) entre les poids corporels finaux et les poids corporels moyens moyens. Les oiseaux nourris avec 20 % de farine de haricots rouges cuits avaient le poids corporel moyen le plus élevé (1220 g), tandis que les oiseaux nourris avec 60 % de farine de haricots rouges cuits avaient le poids corporel moyen le plus bas (941,20 g). Il n'y avait pas de différence significative (p>0,05) dans la consommation alimentaire des oiseaux nourris avec des régimes à base de farine de haricots rouges cuits. Il n'y avait pas de différence significative (p>0,05) dans la longueur des parties du corps et la proportion de carcasses, à l'exception de la cuisse et de l'aile, culture d'oiseaux nourris respectivement avec des régimes à base de farine de haricots rouges cuits. Aucune différence significative (P>0,05) n'a été observée dans la matière sèche, l'extrait d'éther, la fibre brute et la digestibilité des cendres, sauf dans la protéine brute et le NFE (Nitrogen Free Extract). Il n'y avait pas de différences significatives (P>0,05) entre les oiseaux nourris avec les quatre régimes expérimentaux dans les paramètres pris en compte dans la proportion de carcasse, à l'exception de l'aile et du jabot. Il a cependant été conclu que l'ajout de farine de haricots rouges cuits avait un effet positif sur les performances ainsi que sur la digestibilité des CP des oiseaux lorsque leur inclusion dans l'alimentation se situe dans la fourchette de remplacement de 20 à 40 % des sources de protéines végétales conventionnelles.
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