This study aimed to investigate the effect of physical fitness level (Yo-Yo intermittent recovery test level 1 [Yo-Yo IR 1]) and initial stress level (salivary cortisol [SC]) on salivary immunoglobulin A secretion rate (SIgA rate ), and the influence of physical fitness on accelerations (external training load; eTL) and training impulse (TRIMP; internal training load; iTL), in 20 elite youth male basketball players (14.5 ± 0.5 years; height, 177 ± 10 cm; body mass, 69 ± 13 kg) following a short-term training stress (two daily consecutive basketball-training sessions). Saliva samples were collected before and after the experimental period. A multiple linear regression analysis was conducted using the Yo-Yo IR 1 and SC as independent variables, and changes in SIgA rate as dependent variable. The Yo-Yo IR 1 was the only statistically significant variable (R = 0.73; P = 0.001). Participants were divided a posteriori into high fitness (HFG) and low fitness (LFG) groups according to the median-split technique, taking the Yo-Yo IR 1 performance into account, to compare the eTL and iTL. HFG performed a higher total eTL (34 ± 13 vs. 17 ± 7 accelerations; t = 3.4; P = 0.003) but no difference between fitness groups was observed for TRIMP ( t = 0.33; P = 0.74). The results suggest that physical fitness level may play a role on mucosal immunity responses from short-term training stress in youth basketball players. Players with greater level of physical fitness are likely to perform a higher training load without inducing higher stress levels. Cette étude vise à investiguer l’effet du niveau de condition physique (Yo-Yo intermittent recovery test level 1 [Yo-Yo IR 1]) et du niveau initial de stress (cortisol salivaire [CS]) dans le taux de sécrétion de l’immunoglobuline A salivaire [SIgA rate ]), et l’influence du niveau de condition physique sur les accélérations (la charge d’entraînement externe ; eTL) et sur l’impulsion d’entraînement (TRIMP ; la charge d’entraînement interne ; iTL), de 20 jeunes joueurs de basket-ball d’élite masculin (14,5 ± 0,5 années ; taille, 177 ± 10 cm; poids, 69 ± 13 kg), après un stress d’entraînement à court terme (deux jours consécutifs de séance d’entraînement de basket-ball). Les recueils salivaires ont été effectués avant et après la période expérimentale. Une analyse de régression linéaire multiple a été conduite avec Yo-Yo RI 1 et CS comme des variables indépendants et les changements dans SIgA rate comme la variable dépendante. La variable Yo-Yo RI 1 a été le seule variable statistiquement significative (R = 0,73 ; p = 0,001). Les participants ont été séparés a posteriori en groups condition physique élevé (CPE) et condition physique faible (CPF) selon la technique median-split , tenant compte de la performance du Yo-Yo RI 1, comparer le eTL et iTL. CPE a réalisé un total plus élevé de la eTL (34 ± 13 vs 17 ± 7 accélérations ; t = 3,4; p = 0,003), mais aucune différence n’a été enregistrée entre les groups pour le iTL (TRIMP; t = 0,33 ; p = 0,74). Les résultats suggèrent que la condition physique pourrait jouer un rôle dans les réponses immunitaires du stress d’entraînement à court terme des jeunes joueurs de basket-ball. Les joueurs ayant un meilleur niveau de condition physique sont aptes de réaliser une charge d’entraînement plus élevée sans induire des niveaux de stress plus élevés.