While the circulatory migration that defines the transnational realities of Dominicans in the United States have been well documented, there has been less sustained scholastic engagement with mapping the strategic opportunities associated with specific transnational practices, such as diasporic tourism. This study examines the opportunities and constraints of diasporic tourism in the Dominican Republic. It situates the analysis within a wider contextual background of the establishment of a diasporic enclave in New York and the multiple attachments that Dominicans have to their homeland before moving to an analysis of the tourism sector in the DR. As the numbers of Dominicans abroad increase, so too has the numbers of Dominican travelers, with growing amounts returning to their homeland for the purpose of tourism. Although from the existing literature and my research it is apparent that many first generation Dominicans sought to invest their earnings in the U.S. into a range of microenterprises in their homeland, or support extended family members through remittances; the second and third generations do not share that same sense of obligation to homeland. They do however, identify ethnically and culturally with the Dominican Republic and travel for the purpose of tourism more so than their parents. As their numbers and social capital increases, so too does this pool of potential tourists, hence the need for policy initiatives that can further facilitate the growth of this important niche sector. Il est reconnu que la diaspora contribue à l’économie de la Caraïbe et de l'Amérique Latine à travers les secteurs du tourisme, des transports, des télécommunications, du commerce et des transferts d'argent. Cependant, le secteur des télécommunications - plus généralement des technologies de l'information et de la communication (TIC) – figure parmi ceux qui suscitent le moins d'intérêt, bien qu'il soit admis que des profits importants pourraient résulter d'une plus forte implication de la diaspora dans ce domaine. Cet article vise à ouvrir le débat sur ce sujet en se concentrant sur les expériences de la diaspora caribéenne fondées sur la notion d'engagement diasporique par l'intermédiaire des télécommunications, comme moyen possible d’évaluer comment ces dernières peuvent contribuer à faciliter et faire progresser la relation de ladite diaspora avec sa région d'origine. Il est montré que la principale forme d'engagement a été la communication sociale, bien qu'il existe des preuves plus récentes d'une diversification de l'engagement diasporique par l'intermédiaire des télécommunications. Cela est démontré à travers l'utilisation des télécommunications en riposte aux désastres, et pour faciliter la participation aux gouvernances nationales et aux investissements, services et réseaux de connaissances de plus en plus importants qui émergent, avec les télécommunications figurant alors comme un moyen et comme une fin. Néanmoins, les opportunités d'engagement diasporique via les télécommunications restent largement inexploitées en raison d'un certain nombre de défis.
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