Daylight coefficients are normalized contributions from discretized sky or ground segments, or preset solar positions, to solar quantities calculated at various building sensor points. Once generated, daylight coefficients can be folded against luminance efficacy and distribution models to calculate, for instance, time series of illuminances. Over about the last 25 years several daylight coefficient models have been published. The objective of this paper is to propose a standard daylight coefficient model for dynamic daylighting simulations (DDS), consolidating previously published methods. This entails the definition of a standard daylight coefficient data format and accompanying software concepts for dynamic simulation purposes; dynamic in this context meaning variable with time due to changing sky conditions and shading device settings, in contrast to static modelling concepts such as daylight factors. The DDS standard model defines daylight coefficient data independent of building location and scene orientation, and generated using either simulation or measurement. It provides functionality to take into account independently controlled daylighting sources (e.g. windows and skylights) and to query different daylighting quantities in a simulation context (e.g. illuminance at one or more sensors, annual daylight performance metrics). A Radiance-based intermodel comparison shows that DDS-based software outperforms the original validated Daysim approach, upon which DDS is based, notably in cases where sensors are subjected to sudden changes in solar exposure, e.g. in an urban canyon or for sensors located far from a window. The proposed DDS standard daylight coefficient model, including the data format and accompanying software concepts, can be adopted by daylighting and energy-simulation software as a common mechanism for efficiently sharing daylight coefficient data for simulation purposes. Les coefficients d'éclairage diurne sont des contributions normalisées provenant de segments de ciel ou de sol discrétisés, ou de positions solaires prédéfinies, pour des quantités solaires calculées en divers points au sein d'un bâtiment. Une fois générés, les coefficients d'éclairage diurne peuvent être couplés à des modèles d'efficacité et de distribution de luminance pour calculer, par exemple, des séries temporelles de niveaux d'éclairement. Plusieurs modèles de coefficients d'éclairage diurne ont été publiés au cours des 25 dernières années. L'objectif de cet article est de proposer un modèle de coefficient d'éclairage diurne standard pour des simulations dynamiques d'éclairage diurne (DDS) qui consolident les méthodes publiées anterieurement. Cela implique la définition d'un format de données standard pour les coefficients d'éclairage diurne, et des concepts logiciels complémentaires pour la simulation dynamique; dynamique, dans ce contexte, signifiant une variabilité dans le temps due à des conditions changeantes du ciel et à des réglages de dispositifs d'occultation, en contraste aux concepts de modélisation statique comme les facteurs d'éclairage diurne. Le modèle standard DDS définit des coefficients d'éclairage diurne indépendants de l'emplacement des bâtiments et de l'orientation de la scène, et qui peuvent être générés à partir soit de simulations soit de mesures. Ce modèle intègre les fonctionnalités nécessaires pour tenir compte de sources d'éclairage diurne contrôlées indépendamment les unes des autres (par exemple, fenêtres et lanterneaux) et d'étudier différentes quantités d'éclairage diurne dans un contexte de simulation (par exemple, niveau d'éclairement parmi un ou plusieurs capteurs, indices de performance d'éclairage diurne annuel). Une comparaison entre modèles basés sur Radiance permet d'établir la supériorité de DDS sur l′approche Daysim, notamment lorsque les capteurs sont sujets à des changements brusques d'exposition au soleil, par exemple dans un canyon urbain ou lorsque les capteurs sont loin d'une fenêtre. Le modèle standard de coefficient d'éclairage diurne DDS proposé, y inclus le format de données et les concepts logiciels complémentaires, peut être adopté par des logiciels d'éclairage diurne et de simulation d'énergie comme mécanisme commun pour le partage efficace de données de coefficient d'éclairage diurne à des fins de simulation. Mots Clés: coefficient d'éclairage diurne, éclairage diurne, énergie, Industry Foundation Class (IFC), simulation