Usually a post-weld heat treatment is performed on weld repairs for heavy section low alloy 2.25Cr–1 Mo steel power plant components. This procedure relieves the stresses in the weldment and results in improvements in both the room and high temperature properties. A significant saving, in both time and cost, could be realized if the post-weld heat treatment could be safely eliminated by an in situ heat treatment or non-post-weld heat treatment.In the present work, two different multi-pass and multi-layer welding procedures were employed and the resulting welds were subjected to a simulated in situ heat treatment of 538°C for up to 4000 h. The first procedure followed the relatively standard weaving method of pressure pipe welding, while the second involved a low heat input ratio temper-bead technique. A refined grain structure, within the HAZ was observed for both welding procedures. After exposure, at the simulated operating temperature of 538°C, there was an initial rapid reduction in hardness and an increase in toughness. Carbide development had a major influence on the mechanical properties. The conventional welding procedure resulted in a higher degree of tempering than the temper-bead weld procedure. Résumé Habituellement, apres une soudure on effectue un traitement thermique sur les soudures de réparation pour les sections lourdes des composants de centrales électriques en acier faiblement allié 2.25Cr–1Mo. Ce procédé soulage les contraintes des soudures et permet d'en améliorer les propriétés aussi bien à haute température qu'a température ambiante. Si on pouvait éliminer, sans risque, le traitement thermique après soudure au profit d'un traitement thermique in-situ ou d'un traitement thermique antérieur à la soudure, on réaliserait d'importantes économies de temps et d'argent.Dans les travaux présentés, on a utilisé deux procédés différents de soudures, un par passages multiples, l'autre par couches multiples. On a soumis les soudures ainsi obtenues à des simulations de traitement thermique in-situ à 538°C pendant 4000 heures. Pour le premier procédé, on a suivi la méthode relativement classique de soudure de tuyaux sous pression au moyen de tissage, alors que pour le second on a utilisé la technique de colliers de recuits à faible taux de chauffage. Les deux procédés de soudure ont permis d'observer une structure de grains affinés au sein du HAZ. Après exposition à la température opérationnelle simulée de 538°C, il y a eu une rapide réduction initiale de la dureté et une augmentation de la ténacité. Le développement de carbures a une influence majeure sur les propriétés meéaniques. Le procédé conventionel de soudure a pour résultat un plus haut degré de revenu que le procédé de soudure par collier de recuit.
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