Introduction: Geography is a determinant of health. For persons residing in northern and rural regions in Ontario, evidence shows that they are more likely to be retained in opioid agonist therapy compared to their southern counterparts. The contextual factors associated with this observation, however, are not well known. Polysubstance use is a factor which can influence an indivdual's trajectory during their transition from active injection use to stabilization through opioid agonist therapy. In addition, the role of other characteristics such as age, sex, and substance use history may also differ by geography. Appreciating differences in patient populations can inform clinicans who are designing clinically and culturally appropriate treatment strategies. Objective: This study examines the geographic similarities and differences in polysubstance use factors between distinctly different populations including: active injection drug users, active injection drug users who have previously attempted methadone maintenance therapy, and individuals who are actively enrolled in methadone maintenance programing. Methods: Using a comparative correlation approach, two provincial-level anonymized data sets were used to characterize polysubstance use across the spectrum of care for Ontario's opioid-dependent population to assess the impact on treatment trajectories of opioid agonist therapy. Results: Substance use patterns vary by geography; yet, when in treatment substance use as measured by macro-level urine screening demonstrate similar trends for both Northern and Southern OAT patients. Discussion: We show that patient's geography impacts the types of substances which are used. Once in opioid agonist therapy, patient use profiles as well as the impact these factors have on the treatment journey to opioid substitution stabilization appear to be common. Introduction: La géographie est un facteur déterminant de la santé. Pour les personnes résidant dans les régions rurales et au Nord de l'Ontario, il est prouvé qu'ils sont plus susceptibles d’être impliquées dans une thérapie agoniste opioïde par rapport à leurs homologues du Sud. Les facteurs contextuels associés à cette observation, cependant, ne sont pas bien connus. L'utilisation de substance poly-toxicomane est un facteur qui peut influencer sur le parcours d'un individu pendant sa transition de l'utilisation de l'injection active à la stabilisation grâce à la thérapie agoniste opioïde. En outre, le rôle d'autres caractéristiques telles que l’âge, le sexe, et l'historique de l'utilisation de substances peut également différer par rapport à la géographie. Apprécier les différences dans les populations des patients peut aider les cliniciens à concevoir des stratégies de traitement appropriées, autant en clinique que dans les différentes cultures. Objectif: Cette étude examine les similitudes et différences géographiques dans les facteurs d'utilisation de substances poly-toxicomanes entre différentes populations distinctes, incluant: les utilisateurs de drogues injectables actifs, les utilisateurs actifs de drogues injectables qui ont déjà tenté une thérapie de maintien à la méthadone, et les individus qui sont activement inscrits au programme d'entretien à la méthadone. Méthodes: En utilisant une approche comparative de corrélation, deux ensembles de données anonymes, au niveau provincial, ont été utilisés pour cerner les caractéristiques de l'utilisation de substances poly-toxicomanes à travers la gamme de soins disponibles à la population dépendante des opioïdes de l'Ontario et évaluer l'impact sur les parcours de traitement de la thérapie agoniste opioïde. Résultats: Les modes d'utilisation des substances varient selon la géographie; pourtant, quand en traitement à l'intérieur du programme OAT, l'utilisation de substances, telles que mesurées par le dépistage macroniveau urinaire, démontrent des tendances similaires pour les patients du Nord ou du Sud. Discussion: Nous démontrons que la géographie du patient influence les types de substances utilisées. Une fois à l'intérieur de la thérapie agoniste opioïde, les profils d'utilisation des patients, ainsi que l'impact de ces facteurs sur le parcours du traitement à la stabilisation de substitution aux opiacés semblent être commun.