As climate change will entail new conditions for the built environment, the thermal behaviour of air-conditioned office buildings may also change. Using building computer simulations, the impact of warmer weather is evaluated on the design and performance of air-conditioned office buildings in Australia, including the increased cooling loads and probable indoor temperature increases due to a possibly undersized air-conditioning system, as well as the possible change in energy use. It is found that existing office buildings would generally be able to adapt to the increasing warmth of year 2030 Low and High scenarios projections and the year 2070 Low scenario projection. However, for the 2070 High scenario, the study indicates that the existing office buildings in all capital cities of Australia would suffer from overheating problems. For existing buildings designed for current climate conditions, it is shown that there is a nearly linear correlation between the increase of average external air temperature and the increase of building cooling load. For the new buildings designed for warmer scenarios, a 28–59% increase of cooling capacity under the 2070 High scenario would be required. Alors que le changement climatique va entraîner de nouvelles conditions pour le milieu bâti, le comportement thermique des immeubles de bureaux climatisés pourrait également changer. En s'appuyant sur des simulations par ordinateur de bâtiments, on évalue l'impact du réchauffement sur la conception et les performances d'immeubles de bureaux climatisés en Australie, la hausse des charges de réfrigération et l'augmentation probable de la température intérieure dues à un système de climatisation sans doute sous dimensionnée ainsi que les changements possibles de l'utilisation de l’énergie. On constate que les immeubles de bureaux existants peuvent, dans l'ensemble, s'adapter au réchauffement prévu par les scénarios Haut et Bas pour 2030 et le scénario Bas prévu pour 2070. Toutefois, pour le scénario Haut 2070, l’étude indique que les bâtiments de bureaux actuels dans toutes les grandes villes d'Australie souffriront de problèmes d'excès de chaleur. Pour ce qui est des bâtiments existants conçus pour les conditions climatiques actuelles, il apparaît qu'il existe une corrélation presque linéaire entre l'augmentation de la température moyenne de l'air extérieur et l'augmentation de la charge de réfrigération du bâtiment. Pour les nouveaux immeubles conçus pour des scénarios plus chauds, il faudra prévoir une augmentation de 28–59% de la capacité de réfrigération pour le scénario Haut 2070. Mots clés: climatisation, simulation de bâtiment, changement climatique, charge de réfrigération, utilisation de l’énergie, réchauffement planétaire, heures d'excès de chaleur, Australie
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