Abstract

Traduire l’humour est difficile. Lorsque celui‑ci est essentiellement contextuel, référentiel et codé, comme il l’est dans la littérature de l’ex‑Allemagne de l’Est, sa traduction s’apparente à un défi. À partir de l’exemple représentatif du Hinze‑Kunze‑Roman de Volker Braun sont considérées les difficultés de traduire un tel humour éminemment politique, voire sa résistance totale à cette épreuve, ainsi que les différentes significations que peut revêtir alors une traduction.

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