Abstract

L’article se propose de croiser la réflexion de Rahel Jaeggi, représentante de la dernière génération de la théorie critique, et celle de Terry Pinkard, l’un des successeurs de l’École de Pittsburgh, afin de montrer que leurs notions de « formes de vie » résultent d’une interprétation commune de la pensée hégélienne et notamment de l’éthicité comme seconde nature. Notre raisonnement nous amènera à reconsidérer l’emploi du vocabulaire de l’« habiter » et la métaphore de la « vie » à la lumière de l’aliénation comme forme de vie non habitable et privée de toute vitalité.

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