Abstract

Cet article se penche sur les récits inspirés à Louisa May Alcott par ses visites des institutions caritatives pour garçons sans abris à New York au milieu des années 1870. Soucieuse de divertir autant que d’instruire son jeune public et convaincue de la réussite par le travail, Alcott minimise la part d’exploitation et d’oppression pourtant manifeste dans les refuges pour garçons qu’elle décrit. Exempts de tout moralisme, ses récits présentent de forts échos biographiques avec la vie de l’autrice : son expérience de la pauvreté, son chemin vers l’abstinence et surtout un humanisme directement hérité de ses parents et de leurs actions caritatives.

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