Abstract

Le but de cet article est d'abord de montrer comment ce qu'on pourrait appeler la metaphysique de la liberte de Jonathan Edwards (1703-58) pourrait entrer dans le debat ethique, en deux points : la restriction de la liberte de la volonte chez Edwards, et sa reconnaissance de la liberte de la volonte. Puis il verifie si cela est assez solide pour soutenir un modele d'habituation de developpement moral proche de celui d'Aristote, en examinant le degre de liberte exige par la conception d'Aristote du developpement moral. La conclusion indique les avantages qu'il y aurait a inclure Edwards dans la «seconde vague» de la morale des vertus.

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