Abstract
Cet article analyse les œuvres de Rabih Alameddine consacrées à la diaspora libanaise aux États Unis, en particulier The Hakawati (2008), I, the Divine (2001), et KOOLAIDS: The Art of War (1998). Il montre comment le roman The Hakawati , en replaçant la question taboue de l’homosexualité dans l’histoire de l’islam, va à l’encontre de sa répression dans les sociétés modernes de culture islamique. L’article amorce également une critique de l’homonationalité américaine dans I, the Divine , et examine les procédés de « queering » de l’histoire, des lieux et des textes sacrés dans KOOLAIDS , dont le récit entremêle la guerre civile au Liban et la crise du SIDA aux États-Unis. En « druzifiant », c’est-à-dire en suturant diverses traditions narratives et religieuses, Alameddine démontre la nature foncièrement hybride de la sensibilité diasporique.
Talk to us
Join us for a 30 min session where you can share your feedback and ask us any queries you have
Disclaimer: All third-party content on this website/platform is and will remain the property of their respective owners and is provided on "as is" basis without any warranties, express or implied. Use of third-party content does not indicate any affiliation, sponsorship with or endorsement by them. Any references to third-party content is to identify the corresponding services and shall be considered fair use under The CopyrightLaw.