Abstract

This study aims to consolidate existing literature regarding the association between vitamin D and uterine fibroid presence and growth. A comprehensive search across databases including MEDLINE, Embase, CINAHL, Web of Science, ClinicalTrials.gov, and grey literature was conducted from inception to February 2023, using relevant keywords. Authors were contacted for unpublished data. From 9931 studies screened based on title and abstract, those evaluating serum vitamin D levels or vitamin D treatment effects, using ultrasonography for diagnosis, and involving at least 25 pre-menopausal participants were included. Case reports, case series, and reviews were excluded. Data were extracted using a predefined form. Methodological quality was assessed through the Newcastle-Ottawa Scale and the Risk of Bias-2 tools. Evidence quality was evaluated using Grading of Recommendations Assessment, Development, and Evaluation. Data from three randomized controlled trials (n = 328) and 23 observational studies (n = 5650) were meta-analyzed via random effects modeling. Patients receiving oral vitamin D supplementation had a significantly different change in fibroid size (SMD -5.7%, CI -10.63 to -0.76, P = 0.02, I2 = 99%), as measured by percentage change in diameter or volume, compared to controls, over the span of 2-6 months. Those receiving supplementation had vitamin D insufficiency; regimens varied between 50 000 IU weekly for 12 weeks, 50 000 IU weekly for 8 weeks, and 50 000 IU biweekly for 10 weeks. Patients with fibroids exhibited lower serum vitamin D concentrations (MD -5.50 ng/mL, CI 6.99 to -4.01, P < 0.001, I2 = 87%) and higher odds of vitamin D deficiency (OR 3.71, CI 1.90-7.24, P < 0.001, I2 = 80%). This review underscores the potential of vitamin D in mitigating fibroid development and growth. While promising, further research is warranted to optimize dosage and treatment duration, potentially offering a non-invasive solution for at-risk patients. Continued exploration of vitamin D's role in fibroid treatment is encouraged. Cette étude vise à consolider la littérature existante concernant l'association entre la vitamine D et la présence et la croissance des fibromes utérins. SOURCE DES DONNéES: Une recherche exhaustive a été réalisée dans les bases de données MEDLINE, Embase, CINAHL, Web of Science et ClinicalTrials.gov et dans la littérature à l'aide de mots-clés pertinents pour la période allant de leur création à février 2023. Les auteurs ont été contactés pour obtenir des données non publiées. SéLECTION DES éTUDES: Dans les 9 931 études sélectionnées d'après leurs titre et résumé, seules celles ayant évalué les taux sériques de vitamine D ou les effets d'un traitement à la vitamine D, utilisé l'échographie pour le diagnostic et comptant au moins 25 participantes non ménopausées ont été retenues. Les études de cas, les études de série de cas et les revues n'ont pas été retenues. EXTRACTION DES DONNéES ET SYNTHèSE: Les données ont été extraites au moyen d'un formulaire prédéfini. La qualité méthodologique a été évaluée au moyen de l'échelle de Newcastle-Ottawa et de l'outil d'évaluation du risque de biais RoB-2. La qualité des données a été évaluée à l'aide de la méthodologie GRADE (Grading of Recommendations, Assessment, Development, and Evaluation). Les données de trois essais cliniques randomisés (n = 328) et de 23 études observationnelles (n = 5650) ont été méta-analysées à l'aide d'une modélisation à effets aléatoires. Les patientes recevant une supplémentation orale en vitamine D ont présenté un changement significativement différent de la taille des fibromes (différence des moyennes standardisées : -5,7 %; IC : -10,63 à -0,76; P = 0,02; I2 = 99 %), tel que mesuré par le changement en pourcentage du diamètre ou du volume, par rapport aux témoins, sur une période de 2 à 6 mois. Les personnes recevant une supplémentation présentaient une insuffisance en vitamine D; les schémas posologiques étaient de 50 000 UI par semaine pendant 12 semaines, 50 000 UI par semaine pendant 8 semaines ou 50 000 UI toutes les deux semaines pendant 10 semaines. Les patientes atteintes de fibromes avaient des concentrations sériques de vitamine D plus faibles (différence moyenne : -5,50 ng/mL; IC : 6,99 à -4,01; P < 0,001; I2 = 87 %) et un risque plus élevé de carence en vitamine D (RC : 3,71; IC : 1,90-7,24; P < 0,001; I2 = 80 %). Cette étude souligne le potentiel de la vitamine D dans l'atténuation du développement et de la croissance des fibromes. Bien que ces conclusions soient prometteuses, la recherche doit se poursuivre afin d'optimiser le dosage et la durée du traitement, ce qui pourrait constituer une solution non invasive pour les patientes à risque. La poursuite de l'étude du rôle de la vitamine D dans le traitement des fibromes est encouragée.

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