Abstract
Actual interest in aminoglycosides, owing to their bactericidal quickness, explains growing issue of resistant bacterial strains. Ribosomal alteration, lack of cell membrane penetration and enzymatic inactivation are the main mechanisms of bacterial resistances to aminoglycosides, but the last one is essential and concerns most bacteria. Some specificity is observed in distribution of modifying enzymes with, for positive Gram bacteria, a prevalence of APH (3′)-III, APH (2″)-AAC (6′) or bifonctionnal enzyme, and ANT (4′)-I enzymes and a much longer list about negative Gram-bacteria. Antibiogram detects these resistances whose expression can change with some factors, thus host-bacterium, gene copies number or aminoside substrate Bacterial resistances are most often acquired, the genes being transferred through plasmides, transposons or integrons, but low natural resistances exist in some species ( P. aeruginosa for instance). Aminoglycoside resistance prevalence is differently estimated (9% to 50, 70 or more), according to reviewed studies and, principally, enterobacteria origin. A French multicenter study in 50 hospitals shows the presence of four main modifying enzymes in aminoglycoside's resistance of negative Gram-bacteria: AAC (3)-II, AAC (6′)-I, ANT (2″) et AAC (3)-I. Le regain d'intérêt actuel pour les aminosides, lié principalement à la rapidité de leur effet bactéricide, se solde par l'émergence de souches bactériennes résistantes. Une altération de la cible ribosomale, un défaut de pénétration membranaire et une inactivation enzymatique sont les principaux mécanismes des résistances bactériennes aux aminosides, mais le dernier est essentiel et concerne la plupart des bactéries. On observe une certaine spécificité de distribution des enzymes modificatrices avec, notamment, pour les bactéries à Grampositif, la prédominance des enzymes APH (3′)-III, APH (2″)-AAC (6′) dite enzyme bifonctionnelle et ANT (4′)-I ; la liste est beaucoup plus longue pour les bactéries à Gram-négatif. L'antibiogramme détecte ces résistances dont l'expression peut varier en fonction de certains facteurs tels, par exemple, la bactérie-hôte, le nombre de copies du gène ou le substrat aminoside. Les résistances bactériennes sont le plus souvent acquises, les gènes étant transféres entre bactéries par l'intermédiaire de plasmides, de transposons ou d'intégrons, mais il existe naturellement des résistances de bas niveau chez certaines espèces ( P. aerugínosa notamment). La prévalence de la résistance aux aminosides est diversement estimée (de 9 p.100 à 50, 70 p. 100 ou plus) selon les études et surtout la provenance des entérobactéries. Une étude multicentrique française, dans 50 hôpitaux, montre que la résistance aux aminosides des bactéries à Gram-négatif est liée principalement à la présence de 4 enzymes modificatrices : AAC (3)-II, AAC (6′)-I, ANT (2″) et AAC (3)-I.
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