Abstract

La fiction est parfois considérée comme une voie d’accès à la connaissance des animaux, parce qu’elle permet un décentrement qui peut échapper au point de vue anthropocentré. Mais c’est aussi parce que la fiction propose une représentation limitée qu’elle intéresse la relation entre les humains et les animaux, relation toujours limitée, incomplète. Cet article analyse dans cette perspective un recueil d’oraisons funèbres fictives d’animaux publié par Ortensio Lando en 1548, ainsi que les choix faits par ses premiers traducteurs français.

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