Abstract

Internal summertime temperatures measured in 268 homes in Leicester, UK, are reported. The hourly data were collected from living rooms and bedrooms during the summer of 2009. Some household interviews were conducted. The sample of homes was statistically representative of the socio-technical characteristics of the city's housing stock. The data provide insight into the influence of house construction, energy system usage, and occupant characteristics on the incidence of elevated temperatures and thermal discomfort. The warmest homes were amongst the 13% that were heated. Significantly more of these had occupants aged over 70 years who are particularly vulnerable to high temperatures. The national heatwave plan might usefully caution against summertime heating. Temperatures in the 230 free-running homes were analysed using both static criteria and criteria associated with the BSEN15251 adaptive thermal comfort model. These indicated that flats tended to be significantly warmer than other house types. Solid wall homes and detached houses tended to be significantly cooler. It is argued that adaptive criteria provide a valuable and credible framework for assessing internal temperatures in free-running UK homes. However, the temperatures in the Leicester homes were much lower than anticipated by the BSEN15251 model. Numerous possible reasons for this discrepancy are discussed. Il est rendu compte des températures estivales intérieures mesurées dans 268 logements de Leicester, au Royaume-Uni. Les données horaires ont été recueillies dans les salles de séjour et les chambres pendant l'été 2009. Il a été procédé à des entretiens dans un certain nombre de foyers. L'échantillon de logements était statistiquement représentatif des caractéristiques sociotechniques du parc de logements de la ville. Les données fournissent des enseignements sur l'influence qu'exercent la construction des logements, l'utilisation du système d'énergie et les caractéristiques des occupants sur l'incidence des températures élevées et de l'inconfort thermique. Les logements les plus chauds ont été trouvés dans les 13 % qui étaient chauffés. Un nombre sensiblement plus important de ceux-ci avaient des occupants de plus de 70 ans qui sont particulièrement vulnérables aux températures élevées. Le plan national canicule pourrait utilement mettre en garde contre le chauffage en période estivale. Les températures dans les 230 logements permettant une gestion autonome du chauffage ont été analysées en utilisant à la fois des critères statiques et les critères associés au modèle de confort thermique adaptatif BSEN15251. Ceux-ci ont indiqué que les appartements avaient tendance à être nettement plus chauds que les autres types de logements. Les logements à murs pleins et les maisons individuelles avaient tendance à être sensiblement plus frais. Il est fait valoir que les critères adaptatifs fournissent un cadre utile et crédible pour l'évaluation des températures intérieures dans les logements britanniques permettant une gestion autonome du chauffage. Cependant, les températures des logements de Leicester étaient nettement inférieures à celles anticipées par le modèle BSEN15251. Il est discuté des nombreuses raisons pouvant expliquer cette différence. Mots clés: adaptation, changement climatique, stress thermique, vague de chaleur, logements, surchauffe, été, mesure de la température, confort thermique, R-U

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