Abstract
De nombreuses études ont été menées sur l’usage que Soyinka fait des rituels yoruba dans son théâtre et certaines interprétations ont donné à penser que l’intégration de rites dans ses pièces était porteuse d’une réelle expérience religieuse. Le but de cet article est de montrer que si Soyinka a effectivement créé des contextes et des ambiances de rituel dans The Road et dans Death and the King’s Horseman, il a aussi mis en œuvre diverses stratégies dramaturgiques pour résoudre les problèmes inhérents à la mise en scène des rites et pour dépasser la simple imitation d’une expérience religieuse. Ceci peut susciter des réactions très complexes chez les spectateurs sensibilisés à la culture yoruba et leur faire vivre des expériences qui se situent au seuil du théâtre et du rituel.
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