Abstract

Directement concernée parles attentats terroristes de Paris et Bruxelles, Sambreville a dû, en plus dela création d’une CSIL-R, construire un réseau d’acteurs de terrain formés àregarder la radicalisation comme un phénomène en constante mutation. Avec lacrise sanitaire liée au covid, les partenaires locaux du secteur de la jeunesseont très vite fait le constat que la santé mentale des jeunes s’était dégradéeet pourrait, à terme, amener certains jeunes vers des comportements violentspour eux-mêmes et pour les autres, y compris en termes de risque d’entrée dansun processus de radicalisation violente qui est, peut-être, plus difficile à détecterdepuis le covid. A Sambreville, les actions mises en place au niveau local enfaveur du bien-être mental des jeunes permettent aux intervenants sociauxd’agir chacun dans leur sphère de compétence en associant la cohésion sociale,la prévention des problèmes généraux mais aussi des risques spécifiques commele processus de radicalisation.

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