Abstract

L’utilisation du microbiome humain à des fins judiciaires comme objet d’étude implique divers enjeux allant d’une remise en question de notre conception traditionnelle de l’identité au respect de la vie privée, en passant par le type de consentement à recueillir lors du prélèvement d’un échantillon de microbiome. La particularité de cette étude nécessite le travail conjoint d’une équipe multidisciplinaire composée de spécialistes en éthique, criminalistique, droit, microbiologie, philosophie et science politique.

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