Physical activity levels in women with stage II or higher breast cancer: Association, difference and agreement between self-report and objective measurement methods

Abstract

To help women with breast cancer (BC) be sufficiently active, accurate assessment of physical activity (PA) is important. This study compared self-reported and objectively-assessed PA in women with stage II+ BC. Moderate-to-vigorous-intensity physical activity (MVPA) was assessed objectively using accelerometery (Actigraph® GT3X+) and using self-report (Active Australia Survey) and reported in weekly metabolic equivalent minutes (MET.min/wk). Associations, difference and agreement between methods were evaluated using Spearman's correlation, Wilcoxon signed-rank test and Bland-Altman analyses, respectively. Women were also categorised as being insufficiently (≤ 450 MET.min/wk) or sufficiently active (> 450 MET.min/wk) and compared using Cohen's Kappa. Participants ( n = 50) were 51 ± 9 years, with a mean body mass index of 29 ± 6 kg/m 2 . Self-reported and objectively-assessed MVPA were moderately correlated (r = 0.46, P < 0.01). Median MVPA was similar across methods (self-reported: median = 1085.1 [Interquartile range, IQR = 1032.2] MET.min/wk; objectively-assessed: median = 888.4 [IQR = 1218.5] MET.min/wk; P = 0.74), with wide limits of agreement (±2588.6 MET.min/wk). Self-reported MVPA using the Active Australia survey is comparable with objective assessments. For most who self-reported PA levels consistent with national guidelines, their objectively-assessed PA confirmed this to be true. Self-report methods can be used to identify women who need encouragement to stay active versus those who need targeted advice. Pour aider les femmes atteintes d’un cancer du sein (CS) à être suffisamment actives, une évaluation précise de l’activité physique (AP) est importante. Cette étude a pour objectif de comparer l’AP auto-déclarée et objectivement évaluée chez les femmes au stade II + CS. L’AP d’intensité modérée à vigoureuse (APMV) a été évaluée objectivement par accélérométrie (Actigraph® GT3X+) et par auto-déclaration (Active Australia Survey), et rapportée en minutes équivalentes métaboliques hebdomadaires (MET.min/semaine). Les associations, les différences et la concordance entre les méthodes ont été respectivement évaluées à l’aide de la corrélation de Spearman, du test du rang de Wilcoxon et des analyses de Bland-Altman. Les femmes ont également été classées comme étant insuffisamment (< 450 MET.min/semaine) ou suffisamment actives (> 450 MET.min/semaine) et comparées en utilisant le Kappa de Cohen. Les participantes ( n = 50 ; 51 ± 9 ans; indice de masse corporelle: 29 ± 6 kg/m 2 ) ont rapporté des APMV auto-déclarées et objectivement évaluées modérément corrélées ( r = 0,46, p < 0,01). L’APMV médiane était similaire d’une méthode à l’autre (auto-déclarée: médiane = 1085,1 [intervalle interquartile, IQR = 1032,2] MET.min/semaine; évaluée objectivement : médiane = 888,4 [IQR = 1218,5] MET.min/semaine; p = 0,74), avec de larges limites d’accord (±2588,6 MET.min/semaine). L’APMV auto-déclarée à l’aide de l’enquête Active Australia est comparable aux évaluations objectives. Pour la plupart des personnes ayant déclaré des niveaux d’AP conformes aux directives nationales, leur AP objectivement évaluée a confirmé que c’était le cas. Les méthodes d’auto-évaluation peuvent être utilisées pour identifier les femmes qui auraient besoin d’encouragements afin de rester physiquement actives par rapport à celles qui auraient besoin de conseils ciblés.