Abstract
Résumé En 2004, le rédacteur en chef du magazine Wired , Chris Anderson, lance l’hypothèse que l’internet permet de rassembler virtuellement des publics dispersés pour des produits culturels qui ne sont jamais amortis, du fait de l’étroitesse de leurs marchés. L’agrégation des ventes de ces produits deviendrait alors rentable. Cette hypothèse, baptisée la longue traîne, a séduit et ouvert des perspectives nouvelles aux marchés des biens culturels, nourrissant l’idée que les sites de ventes en ligne constitueraient une chance pour la diversité culturelle. Le présent article fait le point, à partir des résultats de publications académiques et de deux études inédites, sur les premières vérifications de l’hypothèse de la longue traîne. Les auteurs soulignent que, malgré son caractère séduisant, les données ne confortent qu’à la marge l’hypothèse formulée par Chris Anderson.
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