Abstract

Cet article se penche sur l’expérience de logement coopératif uruguayen, en articulant le cadre d’une pensée matérialiste de l’habiter avec une critique du mode de production capitaliste. Il interroge cette forme de production sociale de l’habitat à la fois comme politique publique, comme mouvement de transformation sociale et comme procès de subjectivation individuelle. Après avoir présenté succinctement le modèle et précisé la réalité actuelle des coopératives, l’article aborde la question du changement social. Il interroge, à travers un entretien avec M. Pérez Sánchez, les questions de fonctionnement et de vie collective, les limites du modèle et pose la question des possibilités ouvertes par celui-ci en termes de centralité populaire.

Talk to us

Join us for a 30 min session where you can share your feedback and ask us any queries you have

Schedule a call

Disclaimer: All third-party content on this website/platform is and will remain the property of their respective owners and is provided on "as is" basis without any warranties, express or implied. Use of third-party content does not indicate any affiliation, sponsorship with or endorsement by them. Any references to third-party content is to identify the corresponding services and shall be considered fair use under The CopyrightLaw.