Abstract

Cet article examine les différentes formes de mentorats féminins dans trois contes de fées du Grand Siècle: Riquet à la Houppe, L’Adroite princesse ou les aventures de Finette, et L’Enchanteur. On y trace le rôle du mentorat dans la relation conteuses-lectrices, ainsi que son influence sur le refus des contraintes domestiques et sociales imposées sur les femmes. Le mentorat féminin, qui apparaît chez ces conteuses dans des maximes, dans un appel à l’écriture, ou dans la conclusion de l’intrigue, sert à dénoncer les hommes et à encourager les femmes tant à la production du genre merveilleux qu’à la liberté de conduite féminine.

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