Abstract

Est-il légitime de concevoir le processus de mise en musique comme un dérèglement d’une situation originelle du texte? Et à quel moment peut-on considérer le dérèglement causé par le changement de médium comme excessif? En s’appuyant sur un exemple tiré du répertoire de la mélodie française, cet article présente une proposition de conceptualisation de la tension inhérente à un morceau dont le texte et sa mise en musique semblent en décalage.

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