Abstract

L’œuvre romanesque et autobiographique de Stendhal se prête si bien à la lecture psychanalytique que l’interprétation semble superflue. Pourtant Jean Bellemin-Noël a révélé, au-delà d’une simple découverte de tel ou tel complexe freudien, la manière dont chaque unité du texte pouvait entrer en résonance avec l’inconscient du lecteur. L’article, à son tour, entend montrer que le roman familial dans la Vie de Henry Brulard conduit hors des cadres de la théorie, vers une émancipation à la fois pulsionnelle, esthétique et politique.

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