Abstract

Il est aujourd’hui reconnu dans le milieu scientifique que la phase de l’insertion professionnelle des nouveaux enseignants est marquée, pour plusieurs, par de nombreuses difficultés susceptibles d’entraîner des conséquences multiples, dont des problèmes psychologiques tels que la dépression et l’épuisement professionnel, des remises en question professionnelles et l’abandon de la profession (Mukamurera, Lakhal et Kutsyuruba, 2020). D’ailleurs, une étude menée par Létourneau (2014) suggère qu’entre 25 et 30 % des enseignants québécois abandonnent la profession après leur première année et que ce taux s’élève à 50 % après 5 ans d’exercice dans l’enseignement. Alors que le Québec fait face à l’une des pénuries d’enseignants les plus importantes de son histoire récente (Sirois, Dembélé et Semevo, 2022), le soutien à l’insertion professionnelle des nouveaux enseignants apparait de plus en plus comme l’un des meilleurs moyens pour favoriser leur rétention dans la profession à long terme.

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