Abstract
Au Collège de Longueuil, le Frère Marie-Victorin fonde, en 1906, un cercle littéraire dans le but « d’arracher les âmes à la vulgarité où elles semblent engluées ». Affilié à l’ACJC peu après, le cercle voit une section des Anciens s’ajouter à la section Collégiale, le tout regroupant environ 75 membres. Des initiatives variées appellent les jeunes à s’impliquer, au profit matériel et spirituel de leurs semblables. L’une des plus remarquables, même si les circonstances n’ont pas permis de la mener à terme, c’est le projet d’une maison de famille. Vers 1930, après un quart de siècle d’activités, le Frère Marie-Victorin avait tenu près de mille réunions, il avait rejoint plus de 500 jeunes dans une relation personnelle. Son engagement progressif et accaparant dans la carrière scientifique l’empêcha de poursuivre cette forme spécifique d’apostolat qui lui avait tenu si fort à coeur : « La seule chose qui m’attache à la vie présentement, c’est le cercle des Anciens », notait-il en 1911. L’article montre comment s’est concrétisé cet attachement.
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