Abstract
Cet article étudie les différents modèles de progrès possibles répertoriés par Leibniz dans deux textes latins datés des années 1694-1696. Il montre la conception de la perfection que ces modèles impliquent, dans l’hypothèse d’une évolution des créatures et du monde sans progrès, et dans le cas d’un perfectionnement universel. Quoique la thèse du meilleur monde vaille quelle que soit l’hypothèse retenue, il apparaît que le principe du meilleur plaide en faveur d’un perpétuel progrès du monde et permet, sinon de déterminer la forme particulière qu’il doit prendre, tout du moins d’écarter certains modèles d’évolution.
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