Abstract

L’auteur aborde la question de la place psychique de la douleur du corps. Pour Freud, l’objet et sa perte se trouvent au cœur de la transformation du corporel au psychique. La douleur, du côté de l’affect, physique et psychique est présente tout au long de l’œuvre freudienne, reliée aux vicissitudes de l’angoisse. Elle sous-entend une énergie d’excitation non transformée psychiquement et se manifeste dans le contexte d’un narcissisme mal articulé avec l’objectalisation. Suivent deux vignettes cliniques qui illustrent la présence et l’absence de la douleur du corps en lien avec des problématiques psychiques travaillées par le négatif. Quand les blessures narcissiques se rapprochent du corps à travers la douleur physique, l’analyste est confronté à des mouvements contre-transférentiels proches d’une fonction maternelle attentive aux soins primaires.

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