Abstract

Il y a cent ans, en 1921, Jules Destrée, ministre belge des Sciences et des Arts, fit nommer comme membre étranger de l’Académie royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique, le poète Gabriele D’Annunzio, vedette du nationalisme italien et précurseur du fascisme. Le député socialiste admirait son exaltation patriotique et ses élans mystiques en faveur de la guerre. Mais ensuite Jules Destrée allait aussi montrer des faiblesses envers Mussolini et son régime.

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