Abstract

Cette contribution souligne l’importance des écrits de Gisèle Halimi (Le Lait de l’oranger, 1988), pour la mémoire des oppressions coloniales au Maghreb (guerre d’Algérie), en considérant les convergences entre la cause des colonisés et la “cause des femmes” (1973), en vertu d’un humanisme qui récuse le sectarisme identitaire.

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