Abstract

Au 19e siècle, les jeunes filles de la bourgeoisie, de la noblesse et des maisons royales d’Europe recevaient une éducation artistique. Si quelques-unes firent des arts leur métier en tirant profit d’une offre de formation en plein essor, la majorité – peu étudiée – d’entre elles pratiquait les arts en amateur. Cet article se concentre sur l’éducation artistique des artistes amatrices, en particulier celle des femmes de la noblesse dans le Bruxelles du 19e siècle. Pourtant très sensible à l’importance d’une éducation artistique, la noblesse ne vit naître dans ses rangs que de rares artistes professionnelles. La capitale offrait un vaste choix de formations. Des sources d’archives privées permettent d’approfondir les connaissances sur ces artistes amatrices et le paysage artistique de l’époque, tout en contextualisant les données liées aux artistes professionnelles.

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