Abstract

Although creating and displaying 360° environment animated images can be dated to the origins of cinema, audiovisual industry in the broadest sense of the term, has never been as interested by it as today. With or without headphones, the main problem with such media is no longer reception, distribution or production, but perhaps an adapted content. Creators have new constraints imposed by 360º such as, frame pseudo-liberation, managing to focus spectator attention on the central narrative or filming and hiding a crew when filming with a total point of view.In this paper we will explore some of these challenges. Firstly, we will try to understand narrative mechanisms and technological constraints of 360° medium analysing a few selected productions. Secondly, we will present some personal work where issues related to writing, aesthetics, production, post-production and distribution will be explained.To conclude, is important to explain why 360° audiovisual does not offer a real formal innovation but rather invites us to rediscover cinema and its concepts.

Highlights

  • In this paper we will explore some of these challenges

  • Dans le domaine du cinéma, on peut trouver des exemples semblables avec la nouvelle vague en France, qui a pour but de remettre en question un cinéma trop académique où les dialogues propres et la course à l’esthétisme dans l’image s’éloignent trop de la réalité

  • Mythe : Le diable des Caraïbes, 2016, réalisé par Manuel Siabato, Espace III Croix Baragnon, Youtube

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Summary

2-2 Comment ça marche 2-2-1 L’image

Tout d’abord il est important de souligner qu’il n’existe pas de caméra permettant de faire des images équirectangulaires de manière native et n’utilisant qu’un seul capteur numérique. On ne peut pas non plus jouer avec la mise au point dans un plan et si on tient absolument à utiliser un raccord de champ contre-champ pour construire le récit, il faudrait alors déplacer l’appareil vers l’élément à mettre en valeur ou faire venir les comédiens très près de la caméra. Bien que l’image à 360° semble faire disparaître le cadrage, il faut dire que le cadreur garde tout de même un contrôle au moment de la prise de vue, quand il manipule les drones ou voitures télécommandées qui transportent la caméra ou avec des dispositifs de type Steadycam qu’il porterait sur la tête ou ailleurs[21]. Bien que le film n’ait pas besoin de changer le point de vue pour assurer une compréhension correcte de l’histoire, le réalisateur propose ce dispositif de fondu par brique floue permettant de rattraper un regard qui se serait égaré à force d’explorer un environnement. Quant au sens de projection sur le dôme, ces premiers essais lancent des pistes intéressantes pour des installations à venir : à l’horizontale, à la verticale à 45° ? Comment créer des analogies entre l’interface de pilotage et le contenu ? Comment transformer la projection en spectacle partagé ou en spectacle vivant ?

- Conclusion
4-2 Le cadre opposé au regard omniscient et la disparition du hors champ
Notes finales

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