Abstract

On trouve, dans la cinquième mise en prose du Roman de Troie, un bien curieux portrait d’Hélène : le texte s’attarde très longuement sur le riches cercel d’or a riches pierres precieuses que porte le personnage, et prend, en décrivant minutieusement les gemmes, des allures de lapidaire. Or ce détour sert pleinement la description de la Tyndaride : d’abord parce qu’il permet à l’auteur de rendre justice à la beauté de son personnage ; ensuite parce que les vertus magiques des gemmes font sortir Hélène de la passivité qui lui est traditionnellement dévolue.

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