The Household Energy End-use Study (HEEP) quantified how, where, when, and why energy was used in New Zealand houses based on the monitoring of energy and end-uses in a national sample of 400 houses. Based on these data, space heating was found to average 34% of total household energy use. Three issues are highlighted in relation to space heating: firstly, the extent to which low indoor temperatures are associated with persistent under-heating; secondly, whether some space-heating sources tend to be associated with higher (or lower) winter indoor temperatures than others; and thirdly, what the drivers of under-heating might be. An overview of the HEEP research and its complex data set is provided. The range of winter indoor temperatures are then compared with international benchmarks and established healthy temperature ranges. Occupants’ perceptions of winter indoor temperature conditions are presented and explored in relation to heating patterns and household energy consumption. The impacts of this research have assisted in changing public policy, moving from a narrow focus on energy efficiency toward an integrated energy, environmental, and health policy for the building stock and future interventions. L'Etude sur l'Utilisation Finale de l'Energie par les Ménages (HEEP) a quantifié comment, où, quand et pourquoi il a été utilisé de l’énergie dans les maisons de Nouvelle-Zélande, en se basant sur un suivi de l’énergie et des utilisations finales dans un échantillon national de 400 maisons. Sur la base de ces données, il a été constaté que le chauffage des volumes s’élevait en moyenne à 34% de l'utilisation totale de l’énergie domestique. Trois problèmes sont mis en évidence par rapport au chauffage des volumes: premièrement, il s'agit de savoir dans quelle mesure des températures intérieures basses sont associées à une insuffisance de chauffage persistante; deuxièmement, il s'agit de savoir si certaines sources de chauffage des volumes ont, plus que d'autres, tendance à être associées à des températures hivernales intérieures plus élevées (ou plus basses); et troisièmement, il s'agit de savoir ce que pourraient être les facteurs causant cette insuffisance de chauffage. Un panorama de l’étude HEEP et de ses données complexes est fourni. Les plages relatives aux température hivernales intérieures sont ensuite comparées aux données de référence internationales et aux plages de température admises comme bonnes pour la santé. La manière dont les occupants perçoivent les conditions de température hivernales intérieures est présentée et examinée par rapport aux habitudes de chauffage et à la consommation d’énergie par les ménages. Les répercussions de ces recherches ont contribué à modifier les politiques publiques, en évoluant d'une approche étroite axée sur le rendement énergétique à une politique énergétique, environnementale et de santé intégrée concernant le parc bâti et les opérations futures. Mots clés: performances des bâtiments, parc bâti, température demandée, précarité énergétique, logement, comportement des habitants, utilisation de l’énergie par les ménages, chauffage des volumes, Nouvelle-Zélande
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