Dietitians and nurses frequently respond to client questions regarding nutrition; however, only limited research data are available on the information they provide to consumers about the controversial issue of meat in the diet. This study was designed to determine the level of knowledge of dietitians and nurses regarding meat, and to compare the attitudes and meat consumption patterns of the two groups. Mailed surveys were returned by 457 Missouri dietitians and 581 nurses. Dietitians were more knowledgeable about meat than nurses; only 80% of the nurses identified beef as an important source of iron, compared with 98% of the dietitians. More dietitians than nurses correctly estimated the calorie content of 3 oz of beef, although the majority of both dietitians and nurses overestimated the calories in meats. Both nurses and dietitians reported decreasing their own consumption of pork, eggs, beef, and cheese over the past three to five years and increasing their consumption of chicken and fish; however, nurses reported greater dietary changes. In contrast to nurses, dietitians believed that information from meat industry groups was useful. Almost all dietitians agreed with the statement that beef could be part of a healthful diet. Overall, dietitians appeared to view the concept of meat as a part of a healthful diet more favorably than did nurses.Les diététistes et les infirmiers (infirmières) ont souvent à répondre à des questions posées par leurs clients sur la nutrition; mais on ne dispose que de peu de données de recherche sur l’information qu'ils donnent aux consomateurs sur la question controversée de la place de la viande dans l’alimentation. La présente étude avait pour but d’identifier le niveau des connaissances de diététistes et d’infirmiers (infirmières) sur la viande et de comparer les attitudes et la consommation de viande de ces deux groupes. L’enquête a été faite par la poste dans l’état du Missouri et le questionnaire a été rempli et retourné par 457 diététistes et par 581 infirmiers (infirmières). Les connaissances des diététistes sur la viande étaient supérieures à celles des infirmiers (infirmières): seulement 80% de ces derniers ont identifié le boeuf comme une source importante de fer, par rapport à 98% des diététistes. Lavaleur énergétique de 3 onces de boeuf a été correctement estimée par une plus grande proportion de diététistes que d’infirmiers (infirmières), quoique cette valeur ait été surestimée par les deux groupes. Les infirmiers (infirmières), comme les diététistes, ont rapporté avoir diminué leur propre consommation de porc, d’oeufs, de boeuf, et de fromage au cours des dernières trois à cinq années, et avoir augmenté leur consommation de poulet et de poisson, mais ces changements étaient plus marqués chez les infirmiers (infirmières). Contrairement aux infirmiers (infirmières), les diététistes croyaient que l’information provenant des industries de la viande était utile. Presque tous les diététistes étaient d’accord pour dire que le boeuf pouvait être partie d’un régime sain. Dans l’ensemble, les diététistes paraissaient considérer plus favorablement que les infirmiers (infirmières) l’idée que la viande puisse faire partie d’un régime sain.Dietistas y enfermeras con frecuencia respon-den a preguntas de los clientes con respecto a nutrición; sin embargo, solamente datos de investigación limitados se hallan disponibles en la información que ellos proporcionan a los consumidores acerca del asunto controversial de la carne en la dieta. Este estudio fué diseñado para determinar el nivel de conocimiento de dietistas y enfermeras respecto a la carne y para comparar las actitudes y patrones de consumo de carne de los dos grupos. Encuestas enviadas por correo fueron comple-tadas por 457 dietistas y 581 enfermeras de Missouri. Los dietistas mostraron tener mayor conocimiento acerca de la carne que las enfermeras; solo 80% de las enfermeras identificaron la carne de res como una fuente importante de hierro, comparado con 98% de los dietistas. Mas dietistas que enfermeras estimaron correctamente el contenido calórico de 3 onzas de carne de res, aunque la mayoría de ambos, dietistas y enfermeras sobrestimaron las calorías en la carne. Ambos enfermeras y dietistas reportaron una reducción en su consumo propio de carne de cerdo, huevos, carne de res y queso en los pasados tres a cinco años, y un incremento en su consumo de pollo y pescado; sin embargo, las enfermeras reportaron un mayor cambio dietario. En contraste con las enfermeras, los dietistas consideraron la información de grupos de la industria de la carne como útil. Casi todos los dietistas estuvieron de acuerdo con la declaración de que la carne de res podría ser parte de una dieta saludable. En general, los dietistas parecieron considerar el concepto de la carne como parte de una dieta sana mas favorablemente que las enfermeras.