This paper is a successor to an earlier one (Malone, Community, Work & Family, 4(2), 195–213, 2001) which described the development of a ‘community saved’ among first-generation Irish immigrants in North-West London, UK. A distinct and health-enhancing ‘sense’ of community founded on mutual helping networks, a belief in family ties, the importance of paid work and the Roman Catholic Church was identified within this Irish immigrant group. For the second generation or London Irish, upon whom this paper focuses, ‘community’ and ‘sense’ of community have meanings which differ significantly from those of their first-generation forebears. The London Irish describe the anonymity they experience within their contemporary urban ‘home’ and yearn, instead, for an idyllic but mythical ‘homeland’ — the rural Ireland of long ago. Disparities between the two groups yield insights into those elements which truly shape experience of ‘community’ and ‘sense’ of community and which can only be understood within the conceptual, geographical and intellectual boundaries of what has been called the ‘diasporic space’. Ce papier suit à un précédent (Malone, Community, Work & Family, 4(2), 195–213, 2001) qui a dépeint le développement d'une ‘communauté sauvé’ parmi les immigrants irlandais de la première génération au nord-ouest de Londres. Un ‘sentiment de communauté’, à la fois marqué et assanisant, et fondé sur des résaux d'assistance réciproque, le croyance dans les liens familiaux, l'importance du travail salarié, et l'Eglise Catholique, a été identifié parmi ce groupe immigrant irlandais. Pour les immigrants de la deuzième génération, ainsi nommé les ‘London Irish’, et sujet de ce papier-ci, ‘la communauté’ et ‘le sentiment de communauté’ ont des significations très différentes de la première génération. Les London Irish parle de l'anonyme de leur expérience dans le domicile urbain, ils brûlent de revoir le ‘terre patrie’, idylle mythique d'un Irlande rural du bon vieux temps. Ces différences fournissent des aperçus des éléments qui forment l'expérience de ‘la communauté’ et du ‘sentiment de communauté’, éléments qui ne sont compris que dans les bornes de la conception, de la géographie et de l'intellect, bornes de ce qui a été désigné ‘l'espace diasporique’.